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L’enseigne Cora est adepte des opérations « Gros
Volumes » depuis de nombreuses années. Au rayon soft-drinks, la boîte
semble bien se prêter à ce type de promotion avec pas moins de 10 références
mises en avant. Chaque marque interprète la notion de « gros volumes » à sa façon.

D’origine ancestrale, les bières d’abbaye sont pourtant
toujours d’actualité. A commencer par la première d’entre-elles, Leffe dont le
succès n’est pas prêt de se démentir. 

Avec l’arrivée des beaux jours, les energy drinks repartent
de plus belles à la conquête de leurs consommateurs. A grands renforts de
budgets publi-promotionnels.      

Trixaim Investissements vient de racheter la PME bordelaise
Cacolac qui depuis 1956 produit la célèbre boisson chocolatées. L’an dernier,
ce holding industriel s’était porté acquéreur de Balarama, un fabricant de
barres céréalières. 

Compagnie aérienne lowcost basée à Londres, Easyjet
revendique une large couverture européenne. Ce faisant, afin de satisfaire sa
clientèle venue d’horizon très divers, elle entend commercialiser durant ses
vols une offre large de boissons. 

Red Bull ne ménage pas ses
efforts pour proposer ses produits à la bonne
température. A l’instar de Coca-Cola, la marque d’origine autrichienne dispose
d’un large assortiment de meubles réfrigérés à placer dans différents endroits
du magasin (armoire haute ou basse, canette géante, etc.).

« A travers mon expérience du cyclisme professionnel, j’ai souhaité vous
apporter les meilleures formules adaptées à l’ensemble de vos pratiques
sportives. » 

En quête de boissons originales pour étancher la soif de ses
consommateurs « bobos » de Paris et d’ailleurs, les enseignes
Monoprix, Monop’ et Daily Monop commercialisent une drôle de canette noire.
Baptisée Frelon Detox et ornée de la tête du dit insecte, cette boisson affiche
des vertus détoxifiantes. 

Aujourd’hui sous la barre des 40 000 hl en hypers et supers, le segment des boissons dites « malternatives » ou « ready to drink », emmené par Smirnoff Ice, est loin des 200 000 hl qu’il affichait en 2005. Concurrencées dans l’Hexagone par Desperados et le duo Red Bull-vodka, ces boissons ont toujours un certain succès à l’étranger, notamment en Angleterre, aux Etats-Unis et en Australie.

Comment les boîtes sont-elles « traitées » dans les cybermarchés ? Alors que toutes les enseignes françaises sont présentes en ligne via leur activités « drive » et/ou livraison à domicile, nous avons fait le tour des quelques 11 boutiques en ligne (Carrefour, U, Leclerc, Intermarché, Auchan, Monoprix, etc.) afin de voir si le conditionnement boîte faisait l’objet d’un « cybermerchandising » particulier.  

La canette existe en une multitude de formats aux quatre coins du globe. En France, en dehors des traditionnelles 15, 25, 33 et 50 cl, les autres capacités ne sont pas légions. Red Bull a récemment introduit
les formats 35,5 cl et 47,3 cl. 

Comme Red Bull en
son temps, l’arrivée d’Outox sur le marché français a été des plus remarquées. Avant
même que le produit ne soit proposé à la commercialisation, la marque a
bénéficié au printemps dernier d’une couverture médiatique hors du commun.