Limonade Lorina : du bouchon mécanique à la boîte métallique
Produite depuis 1895 en Moselle par les Établissements Geyer Frères, la limonade Lorina a connu une véritable révolution à partir de 1997 et son rachat par l’entrepreneur Jean-Pierre Barjon. Cas d’école de « rétro-innovation », la Lorina qui était vendue localement pour l’essentiel conquiert alors les linéaires soft-drinks de toutes les grandes surfaces françaises, créant pour l’occasion le segment des limonades artisanales. Combinant un côté vintage avec sa bouteille verre fermée d’un bouchon mécanique et un style bien français, la marque s’exporte jusqu’aux Etats-Unis, s’imposant comme une marque adulte de boisson sans alcool.
Première limonade en boîte
Depuis sa renaissance, Lorina en voit de toutes les couleurs. Outre les aromatisations, les citronnades, la limonade sans sucre, la bio, la marque a fait des infidélités à son conditionnement vintage avec la bouteille PET. A présent, elle adopte un autre standard incontournable du rayon soft-drinks : la canette. Pour l’occasion, Lorina a choisi le format slim 33 cl. Comme tous les packagings de la marque, la boîte revendique fièrement son origine française avec un liseré bleu/blanc/rouge à la base de son décor. Lequel décor fait honneur au bouchon mécanique automatiquement associé à Lorina. A noter que la célèbre de limonade n’est pas la seule à faire ainsi référence à son conditionnement historique comme nous l’avions précédemment montré (cf. article). A noter que ce lancement a quelque chose d’historique puisqu’il s’agit de la première limonade conditionnée en boîte !